Le matin, la famille m offre un cafe et une espece de pomme de terre frie que je ne connaissais pas.
Je roule a travers ces palmiers a huile sur cette route si ininteressante, si plate, si droite. En fait, pour rejoindre Bintulu, il y avait 2 possibilites : la vieille route (que j avais empruntee entre Miri et Niah junction) et la nouvelle route. J ai pris la nouvelle route pour changer. Je l ai regrette !
Les parties traversees me faisaient parfois penser a des films de fin du monde (je m attendais cependant a ce que Bruce Willis vienne me sauver mais je ne l ai pas vu, il etait surement occupe a detruire un asteroide qui fillait droit vers moi).
Bref, paysage vraiment triste et le temps n arrangeait rien.
Et la, tout d un coup, au loin, une lueur d espoir. Un peu de vie, tel un mirage ! J y passe une bonne demi heure. Ca faisait du bien de manger un bout et de voir du monde.
Je remange quelques metres plus loin dans une maison ou il y avait le meme genre de plats qu en Philippine sur le bord des routes. Super !
Je roule toute l apres midi pour rejoindre la banlieue de Bintulu. La seule distraction sur la route : des vaches qui broutent l herbe devant les palmiers a huile.
Je m installe dans le jardin d une famille 10 km avant Bintulu, extenue par cette journee, la plus longue en terme de km de mon voyage.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire