dimanche 29 août 2010

J 450 : Mataram J3

Le lendemain matin, c est bon, on a la bonne lettre. En redemandant une enieme fois si j avais toutes les pieces necessaires pour mon dossier, Zul, me demande ou est la lettre de l immigration de Makassar, la ou j avais renouvelle mon visa pour la derniere fois. Quelle lettre ? Je n ai jamais eu de lettre de leur part ! Ah bon, alors tu ne peux pas renouveler ton visa ! C est quoi cette blague. A cause d un oubli de leur part, je vais devoir sortir du pays ? Il en est hors de question. La solution : que mon ancien sponsor a Makassar aille a l immigration pour prendre cette feuille et nous la faxer (c est vrai, c est logique, c est une erreur de leur part alors c est a moi de me debrouiller et pas a eu de demander a leurs collegues de Sulawesi s ils peuvent faxer cette lettre). Je n en peu plus de ces administrations ou ca ne peut jamais bien se passer, ou a chaque fois, j ai une version differente de ce qu il faut que je presente, ou a chaque fois je dois deranger mes sponsors pour qu ils m accompagnent, et de ces fonctionnaires qui oublient de me donner des infos cruciales. CA ME GONFLE ! Je dois encore faire appel a Doni, a Makassar, pour qu il aille, sur son temps de travail, a l immigration (qui est loin d etre la porte a cote). Heureusement, tout se passe bien et il arrive a obtenir la lettre dont j ai besoin.
Mon dossier est enfin complet, mon sponsor Zul me rejoint en debut d apres midi pour s assurer que tout est bon, qu il ne manque rien. Aujourd hui, c est Vendredi. Il faudra que je revienne Lundi pour porter mon dossier dans une autre institution (je ne sais pas pourquoi faire mais je m en fou et je ne cherche meme pas a savoir, je n ai qu une idee en tete, en finir avec ce visa). Et oui, ici, c est prix maxi pour service rendu mini (ils ne pourraient pas le faire en interne par exemple ca, non ?).
Je vais me detendre sur les iles Gili et pars vers 12h30. Je retrouve avec plaisir le littoral que j avais decouvert avec mes parents et ma sœur en 2007. Je me rappelais que ca montait bien. Ca, ca n a pas change !

















Je rencontre un voyageur a velo francais aux detours d un point de vu (d ailleurs, si tu lis ces lignes, je veux bien que tu me renvoies un mail car je ne l ai jamais recu et n ai donc pas ton adresse : nicolasternisien2@gmail.com)



Je ne me souvenais pas qu il y avait autant de magnifiques baies visibles de la route.
















Je dors chez des gens qui ont un petit commerce devant chez eux (comme de nombreux indonesiens), a quelques km de l embarcadere pour les iles Gili demain matin.

2 commentaires:

  1. Viens on achète le bout de terrain et on ouvre une baraque à frites !
    On vivra d'amour et de frites fraîches !

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  2. C est clair, c est tentant mais le terrain est vachement en pente et ne dois pas etre constructible car y aurait surement deja eu des investisseurs sur le coup vu comment l endroit est magnifique.
    Mais je vois bien une baraque a frites avec comme unique acces la mer, ca c est original (on a interet de faire payer cher les frites pour que ce soit rentable)

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