mercredi 30 juin 2010

J 410 : route vers Barabai

Les gens ont un business de petits pains. Ils m en offrent. Trop bien pour le p tit dej.





La ville de Martapura a l air tres sympa mais je n ai pas le temps de la visiter.
Dommage !








Marchande de fruits sur le bord de la route.




L architecture des maisons est superbe ici. Certaines me font penser aux maisons japonaises et ont meme les portes d entree coulissantes.

Il y a eu mes passages fleurs, voici un passage maisons et mosquees.
Desole pour la pietre qualite de prise des photos mais pour la plupart, je les prenais en roulant avec mon reflex numerique (pas de fenetre pour visualiser, c est a l ancienne, dans le viseur).






















Je m arrete manger dans un marche. Forcement, je suis l atraction.
Ici, les gens demandent qu on les prennent en photo. Faut pas me le dire 2 fois !








Le riz jaune etait excellent. C est mon prefere ! Si parfois je trouve le riz blanc un peu fade, celui la est sompteux. J adore ! Du coup, je bis comme dirait les habitues de la boisson.

Photos sur le bord de route en vrac.















Je suis soulage de voir que j ai pu rejoindre Barambai avant la fin de journee.
Je l avais dit a Juliad alors il fallait que je le fasse. Malgre la pluie, ca a roule tout seul. Une etape de 151 km sans forcer mais en roulant une grosse partie de la journee quand meme.
Une trentaine de km avant la ville, alors que je repars d un feu rouge, je suis stoppe net. Ma roue arriere se bloque. Je n aime pas ca ! C est en fait mon rayon arriere casse qui s est foure dans l etrier de mon frein a disque. Plus de peur que de mal. Apres un rafistolage qu un mec s est empresse de me faire (ils sont vraiment tous a mes petits soins, enfin, sauf ceux qui me cassent les oreilles avec le coincoin, ah oui, et ceux aussi qui me mettent la lampe en pleine figure la nuit quand je dors pour me demander si justement je dors deja, ah, et les chauffeurs de bus qui mettent de la techno indonesienne a fond les balons et qui emboucannent tout le monde avec leur clope, et aussi ceux qui, pour te parler, te touche pour te prevenir qu il te parle a chaque phrase, meme si tu es bien en face d eux ; mais a part ceux la, le reste, cad les femmes et 5 % des hommes sont super sympa avec moi). Non, je deconne pour les 5 % des hommes, c est peut etre 6 ou 7 % ... Non mais en fait, ils font des choses qui sont absolument normales ici mais vues par un europeen, ce n est pas pareil. Pas la meme culture, c est pour ca que je suis la aussi. Non, ne me faites pas dire ce que je n ai pas dis. Je ne suis pas la pour qu un mec me tapote le bras en m enfumant la tente la nuit pendant que je dors et m eclairant le visage en lancant des sons de techno a fond, non, il y a malentendu la.
Bref, je peux repartir tranquillement en attendant que je fasse reviser Jitencha.
Je recois le sms avec l adresse et j ai tout juste le temps de lire le nom de la rue que mon tel se coupe (et oui, plus de batterie, c est rare pourtant, ca ne m arrive quasiment jamais...lol).
Devant la maison ou je recharge pour quelques instant mon tel, histoire de voir a quel numero Saleh, l ami de Juliad, habite.



Superbe accueil.
Saleh a une fille. C est une petite merveille. Petillante, charmante, joueuse, parfois coquine, vive d esprit, bref, c est un enchantemant que de jouer avec elle.
Ils m offrent a manger puis on va voir la coupe du monde dans le quartier chez un ami de Saleh.













Punition quand on perd aux dominos


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire